L’homme qui marche

Farid Ounchiouene est fasciné par l’œuvre de Dostoïevski, sa parole âpre et sans concessions. Cet immense auteur, par bien des aspects, résonne en lui et fait aussi écho à ce qu’il a éprouvé en adaptant Koltès (« La nuit juste avant les forêts… »). D’où son envie de travailler à une relecture contemporaine de l’univers de Dostoïevski afin d’en proposer une approche chorégraphique.

Une sculpture de Giacometti représente un homme filiforme qui avance le buste incliné en avant les pieds énormes et comme englués dans la glaise et me semble être une métaphore de nos aspirations spirituelles. Je lui ai emprunté son titre «L’homme qui marche».

A partir de : « Le rêve d’un homme ridicule », « Carnets du sous-sol », « Notes d’hiver sur impressions d’été », « Le crocodile »

 


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CRÉATION 2014

Pièce pour 3 danseurs et 1 comédien
Tout public

Chorégraphie Farid Ounchiouene
Interprétation Farid Ounchiouene, Nikola Krizkova, Eddy Cadiche, Ezio Schiavulli, Olivier Samouillan
Complicité artistique Claire Richard
Musique Hughes Germain et Olivier Samouillan
Costumes Luce Noyer
Régie lumière Dominique Bourges
Régie son Hughes Germain
 

Production Compagnie Farid’O

Coproductions La Maison des métallos à Paris, Le Safran scène conventionnée pluridisciplinaire à Amiens, Fontenay en Scènes – Ville de Fontenay-sous-Bois , Espace 1789 à Saint-Ouen, Espace Germinal – Scènes de l’Est Valdoisien à Fosses, CCN de Créteil – Direction M. Merzouki, L’Escapade à Hénin-Beaumont, La Briqueterie – CDC du Val-de-Marne, Centre Culturel Casadesus à Louvroil.

Avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Nord-Pas de Calais, de L’ADAMI, du Conseil Régional Nord-Pas de Calais, de la Ville de Lille.

Et le concours opérationnel du Manège Mons-Maubeuge/Studio numérique et du CCN de Roubaix (59)